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Donkey Kong 64

Le

par

Avec la Nintendo 64, le pari était de transposer des univers de jeux de plate-forme 2D à des environnements 3D. Pari réussi dès le coup d’essai avec Super Mario 64 dont les qualités ne sont plus à prouver. Rare de son côté a voulu s’y mettre en créant Banjo&Kazooie, ajoutant à la plate-forme banale de nouveaux objectifs et de nombreux mouvements pour ne pas faire que sauter de plate-forme en plate-forme. Mais les fans voulaient Donkey Kong, en espérant que la claque serait au moins aussi grande que celle donnée par Donkey Kong Country !

Donkey Kong is back ! Hoooo banana !

L’affreux King K. Rool veut à nouveau détruire l’île DK à l’aide de sa nouvelle arme : le "Blast-o-matic"! Mais Donkey et ses potes ne l’entendent pas de cette oreille et comptent bien contrecarrer ses plans, dans un sacré jeu d’aventure, autour de 8 immenses niveaux, une trentaine de mini-jeux, une équipe de singes complètement barjots et bien sûr trouze millions de bananes!

Une fois n’est pas coutume : pour King K. Rool, la seule façon de s’en prendre à Donkey, c’est de lui piquer ses bananes. Et tant qu’à faire, il va s’arranger pour kidnapper quelques signes par-ci par-là. Mais cette fois-ci, ce n’est pas Donkey qui est enlevé, ce sont ses potes qu’il va devoir libérer… pour qu’ils le rejoignent ensuite dans cette aventure abracadabrantesque.

On le sait, avec Donkey Kong, il ne faut pas chercher de belles histoires ni même de jolis contes de fée. On castagne les kremlings et c’est tout. Les épisodes Super NES avaient pour qualités un univers à la fois riche et absurde qui transpirait l’humour à plein nez. Cette fois-ci, avec de nouvelles capacités d’affichage, l’absurde laisse sa place à la débilité… et pas qu’un peu. L’humour est plus un gros délire qu’autre chose, avec des péripéties sans queue ni tête, des parodies parfois trop bien cachées et un monde qui y perd un peu de sa cohérence…

Pas de panique cependant, on s’habitue très vite à la débilité et vous allez rapidement hurler de rire. Dès la scène d’introduction, en fait, où vous pourrez voir King K. Rool assis dans un grand fauteuil, caressant un klaptrap pendant que son bateau se mange un énorme rocher, peine à redémarrer et entame une marche-arrière avec le « biiip, biiip » qui va bien. Pour la suite, les tronches des personnages, gentils comme méchants, suffiront à vous décrocher quelques sourires. Et vous prendrez même plaisir à martyriser la faune et la flore juste parce que c’est drôle et bien fait. Et au moins ça n’emmerdera pas Brigitte Bardot.



La smala revue et corrigée

Dixie et Kiddy sortent du casting de même que Swanky qui n’est même pas évoqué. A contrario, Cranky n’est plus une simple guest-star et Candy fait son grand retour et vous a réservé quelques numéros de charme pour l’occasion. Wrinkly, quant-a elle, est mystérieusement décédée. Elle qui fut pourtant la première à se jeter sur la Nintendo 64 n’a probablement pas supporté qu’on enterre la Super NES. Mais son âme n’a pas quitté ces îles pour autant.

Vous pourrez contrôler jusqu’à 5 primates bien différents de la smala Kong tout au long de votre périple. Au départ, vous ne pourrez néanmoins contrôler que Donkey, qui devra délivrer ses copains, tombés dans les pièges de l’infâme Roi Krocodile…


Donkey Kong: ze héros

Donkey en a plus dans les bras que dans la tête ! c’est le personnage de base, il est donc bien équilibré : moyennement rapide et moyennement puissant…

Tranquillement installé dans sa cabane, en plein exercice de pompes sur les pattes avant, notre quadrumane préféré va bien vite apprendre une triste nouvelle : King K. Rool est de retour et a enlevé tous les potes des environs. Heureusement, Cranky est toujours dans le coin et saura donner de bons conseils pour rejoindre les Jobards de la Jungle et commencer à libérer les amis enfermés pour l’aider à récupérer ses bananes d’or.


Diddy Kong: le neveu

Diddy est moins fort que son oncle, mais il est sans doute le personnage le plus rapide du jeu !

Enfermé dans la jungle, c’est le premier des Kongs que vous pourrez retrouver dans le tonneau et avec lequel vous pourrez jouer. Au fil de l’aventure, il apprendra à voler, à foncer tête baissée, à tirer des cacahuètes avec son flingue et à jouer de la guitare électrique. Il devra également terrasser quelques colosses envoyés par King K. Rool. Mais rien n’est trop gros pour Diddy quand il a décidé d’aider Donkey.


Tiny Kong: la p’tite guenon

Quand il parle d’elle dans la notice du jeu, Cranky la confond avec Dixie. Il se pourrait en effet qu’il s’agisse de sa petite sœur. D’ailleurs Tiny attaque avec ses couettes. C’est la plus petite de la bande, mais cela lui permet justement d’aller dans des recoins cachés, inaccessibles aux autres…

Elle peut également faire l’hélicoptère avec ses couettes, comme Dixie en son temps, pour atteindre des plate-formes éloignées. Même si son arbalète n’est pas très puissante, elle a le mérite de pouvoir tirer tout en courant. Et si elle ne saute pas aussi haut que Diddy, elle prouvera à maintes reprises qu’elle grimpe aux arbres plus vite que quiconque.


Lanky Kong: le bouffon

Lanky l’orang-outan est le personnage le plus ridicule du jeu. Il peut allonger ses grands bras élastiques en poussant des cris stupides, ce qui le rend plutôt fort ! Il peut aussi marcher sur les mains, et augmenter ainsi sa vitesse et surtout son endurance, ce qui lui permettra de gravir des pentes abruptes que les autres n’osent même pas approcher. En aspirant un grand coup, il gonflera et pourra ainsi s’envoler. Son gros avantage est qu’il peut attaquer à distance sans utiliser son arme grâce à ses bras élastiques.


Chunky Kong: le poids lourd

Il paraît que c’est le grand frère de Kiddy. En tout cas, vous comprendrez bien assez tôt que le petit frère, encore bébé, est déjà bien plus intelligent que Chunky. C’est en revanche le personnage le plus fort du jeu… mais aussi le plus crétin, le plus lent et le plus lourd… Soyez indulgents avec lui, lorsque vous devez le diriger à travers une grande étendue… Ca va être long…

Le fait d’être fort lui permet de soulever des rochers bien volumineux et bien lourds pour les balancer sur les kremlings. Mais le fait d’être grand le rend quelque peu précieux et délicat. Son instrument de musique n’est autre qu’un petit triangle tout mignon.


Bien que les Kongs soient cinq cette fois-ci, ils ne seraient rien sans leurs amis pour leur prêter un coup de main. Le vieux Cranky, qui vous fera boire des potions pour vous apprendre de nouvelles attaques, la belle Candy vous fournira de l’énergie supplémentaire et des instruments de musiques, et ce taré de Funky vous équipera avec des armes toutes plus stupides les unes que les autres… Tout ceci en échange de pièce-bananes que vous aurez bien pris soin de ramasser un peu partout.

En plus de tout ce monde, vous retrouverez Rambi le rhinocéros et Enguarde l’Espadon, mais ceux-ci ne serviront que dans des zones bien délimitées voire dans des niveaux bonus. Impensable de progresser dans le jeu avec eux… et c’est fort regrettable !

Sur une île paradisiaque et vide

Côté graphismes, on repassera. Donkey Kong 64 est le premier jeu à utiliser impérativement l’Expansion Pak, l’extension mémoire qui permet à la console de moins souffrir quand on lui demande d’afficher plusieurs choses. Malheureusement la technique n’est pas à la hauteur. Les niveaux ne sont que de simples successions de salles pas spécialement grandes et particulièrement vides. Dans les espaces extérieurs, les développeurs ont fait le choix de ne pas mettre une once de brouillard. Et pour éviter de voir trop de clipping, ils ont carrément fait en sorte que les objets, les décors et les monstres disparaissent joliment, laissant un horizon complètement vide. Ils ont même été plus loin concernant les bâtiments : ceux-ci sortent de terre lorsque vous vous en approchez. C’est rigolo mais qu’est-ce que ça peut transpirer l’aveu de faiblesse !!



Du côté des personnages, par contre, la modélisation est plutôt soignée. En même temps la licence ne pouvait pas se permettre de faire l’impasse sur la qualité de modélisation des personnages vu qu’elle avait été ressuscitée quatre ans plus tôt par une technique à couper le souffle. Mais si les polygones sont à l’honneur, les textures, elles, le sont moins. Des singes sans poils, ça fait un peu bizarre et l’impression laissée par les couleurs ne fera pas effet bien longtemps.

Graphiquement, c’était peut-être un peu trop ambitieux pour la pauvre N64 qui montre ici ses limites. Heureusement, la console ne souffre d’aucun ralenti. En même temps ça aurait été difficile vu le peu de choses affichées à l’écran et la pléiade d’objets en 2D qui jalonnent votre parcours.

Ca reste tout de même une sacrée déception au vu de ce que l’on était en droit d’attendre de la suite des Donkey Kong Country.


Donkey en 3D…

Pour compenser, la jouabilité est tout bonnement excellente ! Les Kongs se manient sans aucun problème, idem pour la caméra, ainsi que pour les petits mini-jeux que vous rencontrerez sur votre route. On voit bien que Donkey Kong 64 a été fait par la même équipe que Banjo&Kazooie, car certains mouvements de base se font de la même manière dans les deux jeux ! Un atout pour les fans, mais un sacré inconvénient pour les novices qui vont devoir composer avec des combinaisons de boutons pas toujours très logiques que seule la manette 64 peut rendre complexes.

Chaque Kong se verra vite attribuer une arme et un instrument de musique. Ces derniers servent principalement à activer des mécanismes ou à interagir avec l’environnement proche. Ils ont également des attaques spéciales spécifiques, données par Cranky. Par exemple, Diddy peut voler en jetpack, Tiny devenir minuscule, Chunky devenir énorme, etc… Les mouvements de base que vous ne mettrez pas bien longtemps à maîtriser vont progressivement laisser leur place à des actions très contextuelles qui transforment littéralement le jeu au bout d’une heure ou deux. Comme Banjo&Kazooie, il ne s’agit pas d’un simple jeu de plate-formes où s’enchainent les acrobaties façon Mario.

Cranky est de retour pour vous filer des potions qui augmenteront vos capacités… Cranky en savant fou… on aura tout vu !

Au cours de votre aventure, vous devrez faire des courses, des épreuve acrobatiques, de furtivité… pas de quoi vous ennuyer ! Mais vous aurez aussi parfois à faire des choses un peu "spéciales", comme appuyer sur les touches d’un xylophone pour faire roter des kremlins… Et je ne vous cache pas non plus qu’à un moment donné, vous devrez jouer au premier Donkey Kong inventé par môssieur Miyamoto himself ! Que de souvenirs ! Ainsi qu’au Jetpack, un vieuuuux jeu de Rareware… Bref, avis aux nostalgiques…

Le gros du jeu repose sur la nécessité d’alterner entre les Kongs. Pour ce faire, des tonneaux sont disposés un peu partout dans les niveaux. Vous entrez dedans et en ressortez avec le Kong de votre choix. Vous l’avez certainement compris, certains Kongs peuvent faire des choses que les autres ne peuvent pas. Or le but de chaque niveau étant de récupérer un certain nombre de bananes pour accéder au boss qui permettra de débloquer l’accès à la zone suivante, vous finirez pas être obligé de jouer avec tout le monde même si vous ne vouliez pas faire de hi-score. D’autant plus que chaque boss ne peut être battu que par un personnage précis et pas un autre.

Quelle excellente idée d’avoir intégré cela au jeu ! Que de souvenirs !!!

L’idée de permettre d’alterner entre les personnages est excellente et change complètement des trois épisodes Country dans lesquels le changement de personnage, bien que parfois confortable, n’était pas une nécessité absolue. Cependant la mise en œuvre de la chose est quelque peu maladroite. Certaines zones du jeu sont purement et simplement bloquées par des grilles que seul un personnage précis peut ouvrir. Dans ces zones, vous n’aurez que des bananes, inutile donc d’espérer vouloir y revenir avec un autre personnage, d’autant plus que les bananes de couleur ne peuvent être ramassées que par le personnage qu’elles représentent. Ainsi, si même Chunky vous ennuie à mourir, vous ne pourrez pas finir le jeu sans avoir fait quelques niveaux avec lui. Pas le choix. Le concept aurait quand même pu être largement plus étoffé en tablant peut-être davantage sur la complémentarité des personnages au lieu de leur dédier une partie du jeu à chacun de façon plutôt maladroite. N’ayez pas peur de vous perdre en tout cas : lorsqu’un personnage peut accéder à une zone, vous verrez sa tête partout : sur les interrupteurs (qui lui seul peut actionner), sur les tonneaux (dans lesquels lui seul peut entrer)…

Un concept qui mériterait d’être revu même si l’idée était bonne et les possibilités immenses : ce n’est pas tous les jours que l’on croise un jeu dans lequel cinq personnages jouables sont à ce point différents.

Un mini jeu : il faut tirer une pastèque sur les Kremlings

Da Banana Bunch!

Pleurez pauvres mortels, David Wise a brillé par son absence sur quasiment toute la vie de la Nintendo 64. Donkey Kong n’y a pas échappé même si on retrouvera ici ou là quelques unes de ses musiques, notamment celle de la jungle, un peu indispensable.

« Jungle Madness »
Grant Kirkhope – Donkey Kong 64 OST : Da Banana Bunch (1999)

Le reste a été mis en musique par Grant Kirkhope. On retrouve toute l’ambiance joyeuse habituelle du primate, mais avec un arrière-goût de Banjo-Kazooie qui rend difficile la distinction entre les deux jeux sur le plan de la musique. Mêmes instruments utilisés, même volonté de mélanger le bruitage à la musique… Ca n’enlève en rien la qualité, bien au contraire, mais c’est encore un peu dommage.



Parmi les morceaux incontournables, on trouve le rap d’introduction du jeu (que l’on a retrouvé plus tard dans le stage DK de Super Samsh Bros Melee sur Game Cube). C’est tout simplement à se rouler par terre ! Ce qui était initialement un petit délire entre développeurs s’est retrouvé en ouverture du jeu, passage quasi obligatoire quand on allume la console. Un grand moment mais aussi une prouesse technique, car faire tenir un morceau de musique de 3 minutes sur une cartouche Nintendo 64 revenait trop souvent à renoncer à inclure bien d’autres choses dans le jeu.

Pour le reste des musiques, on notera la présence de thèmes propres à chaque niveau et déclinés de plusieurs manières selon l’endroit dans lequel vous vous trouvez. Par exemple, dans le niveau Jobards des Jungles, le thème Jungle Madness bien connu vous arrivera aux oreilles d’entrée de niveau. Puis en passant dans une grotte, ce même thème sera transformé pour faire moins grandiose, plus intime, plus humide aussi. Puis en arrivant dans la plaine sous l’orage, vous l’entendrez de manière dramatique. Vous le retrouverez également lors du combat contre le boss du niveau, bien plus dynamique cette fois. Et c’est pareil pour les huit niveaux.

La carte du monde dispose également de son propre thème et en vous approchant d’un niveau particulier, la mélodie ne changera pas mais les instruments vous rappelleront le niveau dans lequel vous allez entrer… comme dans Banjo-Kazooie, en fait.

Dans l’arène, il faut bousiller tout le monde sans tomber. Le public applaudit quand vous vous prenez une claque et hurle quand vous gagnez.

Restent alors les voix. Elles sont bien sympatoches, celle de Lanky est très drôle ^^ On retrouve à nouveau Robin Beanland et Evelyne Fisher au micro. La première voix que vous entendrez sera celle de King K. Rool, terriblement caverneuse. Ca seront en fait les seules phrases que vous entendrez puisque passé la scène d’introduction, les personnages demeureront muets et les dialogues se feront en sous-titrage. Mais les exclamations sont légion, tant pour les Kongs que pour les ennemis et les boss. Une pensée toute particulière pour la Tatou qui explose de rire sitôt qu’un canon plus gros que lui sort de sa carapace.

Bien qu’il souffre d’un manque cruel d’identité musicale face aux deux Banjo-Kazooie, Donkey Kong 64 ne pêche pas pour autant par manque de qualité. Encore une fois, un peu de travail supplémentaire de la part des développeurs aurait certainement permis à Grant Kirkhope de jouer ses jolies mélodies avec d’autres instruments MIDI. Le reste de son travail nous montre bien qu’il sait varier les genres quand il s’en donne les moyens.

Mais quel bouffon ce Lanky…

5 x 8 x 100 bananes et plus encore !

Terminer le jeu devrait vous prendre une bonne quarantaine ou cinquantaine d’heure. Ajoutez-en quelques unes, avec un mode multijoueur assez sympathique mais pas si extraordinaire : vous affrontez vos amis dans une sorte de deathmatch sur une arène avec ou sans ennemis ou bien sur un ring duquel il ne faut pas tomber. Mais l’un des principaux défauts de la jouabilité vient ici se mettre en travers de votre chemin : le jeu n’est pas spécialement facile d’accès et les joueurs non initiés ne prendront aucun plaisir à vous affronter… ou plutôt à se laisser massacrer parce qu’ils ne savent ni comment sortir ni ranger leur arme pour faire autre chose que vous servir de cible.

Par contre, si vous voulez terminer le jeu à 101%, en retrouvant les 201 bananes d’or, les 100 bananes de chaque Kong dans chacun des 8 mondes, et j’en passe, vous devriez atteindre soixante-dix à quatre-vingt heures de jeu facilement !


A cela s’ajoute encore un mode mystère qui vous permet de revoir les cinématiques du jeu (et certaines sont vraiment poilantes !!), de faire un peu de hi-score dans les arènes de Rambi ou Enguarde ou encore d’affronter de nouveau les boss du jeu à l’exception de King K. Rool, pourtant l’un des boss de fin les plus mémorables de sa génération, tant dans le déroulement de la partie que dans la cinématique de fin de combat. Rien ne vous empêche ceci dit de garder une partie terminée dans vos sauvegardes pour refaire ce combat à loisirs. Il vaut vraiment le coup et synthétise quasiment toutes les subtilités de gameplay du jeu.


Bref, avec Donkey Kong 64, vous en aurez pour votre argent, je ne me fais pas de souci pour vous.

En bref…

J’aime :

  • La débilité
  • La jouabilité complète et variée
  • L’ambiance bon enfant qui émane du jeu

J’aime pas :

  • La rigidité des énigmes
  • Les graphismes bons mais décevants
  • Les musiques sans identité

Drôle et prenant, Donkey Kong 64 est avec Super Mario 64 (mais sans son charme de premier grand hit en 3D…) LE jeu de plate-forme à posséder sur Nintendo 64. je ne saurais que vous le conseiller si vous cherchez les grands titres de la console. Si vous avez aimé Banjo-Kazooie ou Banjo-Tooie, vous aimerez ce jeu… Moi, il m’a conquise !

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