Objection !!
Toute suite laklass s’installe, les bases sont posées…
Nintendo profite du Nintendo DS pour enfin sortir Gyakuten Saiban hors du Japon alors que trois épisodes sont déjà sorti sur GBA. Il vrai que c’est un bon prétexte, attendre un hardware dit nouveau pour sortir un jeu hors du commun, le coup est plutôt bien joué. Mais n’est-il pas un peu abusé de nous sortir un remake GBA en améliorant les menus et en rendant le jeu plus tactile ?
Les faits
Bonjour je m’appelle Phoenix Wright (ND Scrotch : Ne vous méprenez pas c’est toujours cet idiot d’enflammé qui parle, il a enfilé un costard et foutu un peu d’gel). Je sors de l’école de droits et je rentre tout juste dans le monde des crimes et autres affaires judiciaires, tout d’abord j’ai été engagé au bureau d’avocats Fey&co où j’ai pu mener mon premier vrai procès avec ma patronne Mlle Mia Fey, le but était de défendre un ami d’enfance : Paul Defès, accusé de meurtre sur sa petite amie.
Grâce à l’aide et au soutient de Mlle Fey j’ai pu gagner mon procès. Je ferai ensuite connaissance avec sa petite sœur mais dans de, hélas, mauvaises circonstances… En effet je ne vous révèle rien mais il va s’passer un truc pas cool pour la patronne (ND Scrotch : T’es pas crédible là, crétin !).
Personnages principaux
On ne me paye pas assez pour que je vous les présentent tous ^^
Mia Fey :
Avocate réputée dans le milieu, elle est descendante d’une lignée de médiums. Sa mère sera mêlée à une affaire irrésolue de meurtres d’avocats Toujours là pour aider Phoenix même si la faux (la mort kwa) la prise.
Maya Fey :
Petite sœur de Mia, elle s’entraîne pour devenir meidium (mix entre medium et meilleur). Le métier d’avocat la branche d’arbre et elle deviendra l’assistante de Phoenix
Inspecteur Dick Tektiv :
Un peu idiot et tellement dans le cliché, l’inspecteur Dick Tektiv se fait constamment remonter les bretelles par ses supérieurs, il est néanmoins une aide précieuse pour notre avocat car c’est lui qui lui fourni les rapports d’autopsie.
Benjamin Hunter :
« Le chasseur », tel est son surnom. A seulement 24ans il est déjà avocats hors pair, alors que son père était avocat de la défense, il s’est converti dans le métier d’avocat de l’accusation. Son mentor est le terrible Von Karma et il fréquentait la même école que Phoenix Wright étant jeune.
Manfred Von Karma :
40ans de carrière, pas un seul procès de perdu, Von Karma est un maître dans la dissimulation de preuves, suite à une affaire qu’il entacha sa réputation, il dû se retirer quelques temps.
Paul Defès :
« Quand Paul Defès arrive, tout part à la dérive ». Tout est dit dans le proverbe, un mec un peu idiot avec une tronche de Viewtiful Joe qui ne sort qu’avec des mannequins. Ami de longue date de Phoenix Wright, il sera aussi son premier client.
(ND Scrotch : Je déteste ces préliminaires àlakon… c’est mieux après comme avec les nanas !)
Musiques et sons
Bon c’est bon y en a marre, pousse toi crétin d’enflammé ! Je croyais qu’on le faisait à deux ce test (bien que ça m’agace de perdre du temps sur des conneries).
Scrotch prend le relais les jeunes et si ça vous plait pas aller voir sur NGC France si j’y suis !
Bon, je m’occupe de quoi au fait là (j’en ai tellement rien à foutre…) ? Musique et sons ! Zut ! J’déteste ça, c’est trop chiant ! Bon tant pis j’y vais sinon on va me forcer à être heureux pour la sortie de Zelda TP… Alors niveau musique, c’est la seule trace désagréable laissée par le GBA, certaines musiques sont vraiment soûlantes et sentent bien fort le vieux, je prend comme exemple le thème de l’interrogatoire.
Par contre certaines en foutent plein les oreilles et vous entraînent à fond dans le jeu, je prend comme exemple le thème que je vais appeler » d’objection » parce que j’ai vraiment pas envie de me faire chier à lui trouver un autre nom… Phoenix déballe ses hypothèses/preuve et là ça en jette ! D’autre, comme le thème de l’inspecteur Tektiv ou celui de Maya sont sympas à entendre. En fait à part deux ou trois musiques soûlantes le reste est vraiment pas mal, d’ailleurs il existe sur Galbadia des versions remixés que je n’ai encore eu le temps d’écouter mais qui sont, il paraît, vraiment pas mal, m’enfin méfiez-vous du » il paraît « , » Fable c’est bien il paraît «
Question Sons, rien d’extraordinaire y’en a un que j’aime bien c’est le genre de déclic provoqué par » l’objection « , c’est un peu le même que dans Détective Conan quand il comprend un truc. Les autres je les ai oubliés puis en plus vous vous en foutez. Y’en a quand même un qui est nul de chez nul, c’est le bruit de la foule dans le procès, on croirait entendre les rires pourris préenregistrés des sitcom sauf que là c’pas des rires mais du barouf.
Zut j’ai oublié les voix ! Ne sortez pas tout de suite l’engin du pantalon, c’est juste de l’exclamation du style « Objection! » ou » Un instant ! » (et oui ! Du Français !) Mention spéciale aux » Objection ! » de Von Karma et Mr Boulet ^^
Bon voilà j’ai fais ma partie, j’te retrouve plus tard pour la conclu Fire, en attendant je vais aller râler sur la vie en générale avec Sknot…
Durée de vie
Si c’est pas une honte ça ! Me virer, me traiter de crétin et même pas finir le travail jusqu’au bout ! C’est bien du Scrotch ça ! Pourquoi à t’il fallu qu’Akin le punisse « à faire un test avec Fire Rafou » ? Comme si c’était une corvée, puis d’abord mon corps il a pas la forme d’un V (ND Scrotch : Si en réalité c’est pire que le Fifa avec Trizo…).
Niveau durée de vie, quand on regarde les mots qui vont suivre vous lisez 5 chapitres. Quoi ! C’est tout ! Il se foutent pas un peu d’not’ gueule là !
Pas du tout, la première mission est certes simple et rapide mais ce n’est qu’un tutorial, les autres missions sont biens plus longues et ardues, en plus la durée est croissante de mission en mission, comprenez par là que plus ça va plus les mission sont longues (ND Scrotch : Fire Rafou, ou l’art de meubler en prenant les gens pour des cons…).
Dans la partie vous pouvez sauvegarder à tout moment mais le jeu vous imposera une sauvegarde entre chaque acte (enquête, tribunal). Une fois le jeu fini vous avez la possibilité de recommencer les missions dans l’ordre que vous voulez.
On ne regarde pas une femme avec un angle de vue pareil !
Graphismes
Ben… là on voit que le jeu est un remake GBA d’un jeu Japonais. Pas un poil de 3D ! Les quatre premières missions du moins, durant celles-ci vous ne verrez que du dessin de style manga et non pas un style futuriste comme un certains Trauma Center sur Wii, il y a en moyenne cinq poses pour les personnages.
Les personnages quant à eux font énormément dans le cliché, aussi bien au niveau des fringues qu’au niveau des poses et attitude.
Par contre dans la mission 5, nous avons enfin le droit à un peu de 3D, notamment pour des objets que l’on devra observer sous toutes leurs coutures et même pour une vidéo pas trop mal foutue !
Gameplay
Ah ! C’est more better sans Scrotch ! On peut enfin travailler tranquille (ND Scrotch : Et tu nous pond une partie « graphismes » pourrie dès que je pars…).
Le Gameplay est assez complet pour un jeu de ce style, avec le NDS et son écran tactile tous les sous menus chiants nous ont été mis sur l’écran du bas, facilitant ainsi la navigation.
Dans Phoenix Wright, durant les enquêtes, nous nous déplaçons de lieu en lieu pour interroger les témoins ou fouiller un coin pour chercher des indices. A chaque lieu son personnage et face à celui-ci, 4 fenêtres vous seront disponible :
- Discuter : Pour interroger le témoin, des nouvelles questions apparaissent au fur et à mesure de la discussion (quand je vous disais qu’on était plus spectateur qu’acteur).
- Se déplacer : Pour changer d’endroit si vous ne pouvez plus saquer le mec en face de vous (ND Scrotch : *clique sur « Se déplacer »*).
- Examiner : Pour inspecter la pièce, au cas où il s’y trouverai un truc utile à l’enquête.
- Présenter : Pour montrer une pièce à conviction ou autre objet à la personne en face de vous.
(ND Fire Rafou : Mais c’est qu’il maitrise photoshop ce salaud d’ornithorynque >_<)
Maintenant, au tribunal, c’est un peu moins chiant vous n’agissez que pendant le contre interrogatoire où vous devez trouver la faille dans le témoignage du gars en lui posant des questions et en mettant sur la table la preuve qu’il vient de dire une connerie. Sinon le reste du temps se limite à cliquer sur A ou l’écran tactile pour faire défiler le texte.
Ah ! Oui y’a une reconnaissance vocale aussi, pas terrible. Quand vous présentez une preuve à un témoin, appuyez sur Y et gueulez soit « Objection ! » soit « Un Instant ! » suivant ce que l’on vous dit de dire.
En bref…
Mise en scène : 17/20
Un avocat qui a la classe, des audiences plus folles que jamais, des histoires et enquêtes très tordues, comment, moi le fan de Détective Conan, pourrai-je passer à côté ?
Graphismes : 14/20
Pas beaucoup d’honneur à la DS mais les persos sont tout de même classe et très clichés, vive le manga !
Durée de vie : 12/20
Le vrai fan en demande toujours plus mais là il faut avouer qu’il a raison, je suis sur que l’on pouvait caser d’autres enquêtes sur le Giga de mémoire qu’offre la cartouche NDS.
Gameplay : 16/20
Très simple et complet, que dire de plus ?
Musiques et sons : 13/20
Scrotch n’est pas revenu tant pis pour lui. Je dirai juste que c’est dommage que les musiques n’est pas été refaites parce que là même si les musiques sont bien ça sens le vieux.
Note finale : 16/20
Fire Rafou :
« Objection ! »
Pour moi l’une des références absolue du NDS ! Et je pèse mes mots comme les bonbons du même nom !
Une ambiance et une mise en scène à foutre le cul non pas avec de la HD de d’jeun’z in da mouve mais grâce à des dénouements d’enquêtes, des personnages et des audiences de tribunal plus déjantés que vous ne le verrez jamais, sauf dans un manga.
Certains détestent (comme Micke) d’autres adorent (comme moi) et même les férus d’action comme notre newsmaker débile nommé Athanor apprécient.
Je ne saurai le conseiller à tous ceux qui aime le genre policier.
Scrotch : 01/20
Boarf… Ca me fait tellement chier d’écrire un truc que personne ne lira.
Je ne comprendrai jamais Nintendo. Pourquoi s’efforce t’il de nous sortir ce genre de japoniaiseries à deux balles et chiante au possible.
Je lui mets un point mais c’est vraiment parce que j’y ai pas joué, je laisse ça à l’autre idiot d’allumette.