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Pokémon Ranger : Nuit sur Almia

Le

par

Peu de temps après avoir découvert le premier épisode sur DS, on me met le second entre les mains et on me dit « teste ». J’vais pas dire non, vu comment le premier m’a plu. Après un premier épisode sympathique mais assez court, la « licence » part de chez Hal Laboratory pour revenir chez Game Freak, le studio Pokémon de base.
Revirement total ? Des ajouts RPG ? Ça change quelque chose pour nous ? C’est ce qu’on va voir.

Histoire


Quatre elèves pour un professeur. L’argent coule à flot à Almia.

L’histoire de ce deuxième épisode (que je vais appeler “NSA” pour éviter de retaper le titre à chaque fois) est sensiblement la même que celle de l’épisode précédent. Les Pokémon Rangers sont une organisation de bienfaiteurs veillant à régler les problèmes et à maintenir la paix et l’harmonie entre humains et Pokémon. Ils peuvent être sollicités par la population aussi bien pour aller chercher le pain (j’ai juré) que pour la 3ème guerre mondiale.

Les Pokémon Ranger possèdent des Capsticks. C’est un appareil qui leur permet, je cite, de “communiquer leurs sentiments aux Pokémon pour se lier d’amitié avec eux”. Ces Capsticks ont bien évidemment plusieurs fonctions, mais ne commençons pas à grignoter la partie gameplay.

Ca, c’est les bases, elles ont été établies au premier épisode. Dans NSA, vous changez de région, comme le veut la tradition des Pokémon. Vous vous retrouvez donc à Almia (avant, c’était Fiore), une région qui a l’air déjà un peu plus grande que l’ancienne.
Votre aventure commence à l’école, fraichement débarqué, vous vous ferez très vite des amis tout en apprenant les bases du boulot de Ranger, sans évidemment passer outre quelques péripéties car si c’était aussi monotone que la vraie école, ça serait plus un jeu ^^

Une fois le diplôme obtenu, vous et vos amis seront dispersés un peu partout. En ce qui nous concerne, vous serez affecté à la base Ranger de Véterville sous les ordres du chef Barack (putain le nom :! ).
C’est là que la vraie aventure commence, car vous aurez à peine le temps dans la vie quotidienne du travail et des missions. Très vite, vous aurez à régler des affaires de machines qui hypnotise les Pokémon, puis aux mecs cachés derrière ces machines.

Pas de grandes différences avec le premier donc, il faut toujours empêcher les méchants de nuire, mais là ou NSA devient intéressant, c’est qu’on se sent vraiment utile et impliqué. L’organisation est vraiment grande et elle a des moyens, c’est pas des types que vous rencontrez au hasard dans les forêts, certains moments sont presque épiques à tel point qu’on ne peut pas lâcher sa console. Ce côté plus vivant et plus aventurier de l’intrigue fait vraiment plaisir, face au déroulement un peu bancal du précédent épisode. À propos, NSA ne manquera pas de faire quelques clins d’œil à son prédécesseur grâce à des personnages , mais aussi parce qu’NSA inclut dans son scénario les faits du premier Pokémon Ranger (le groupe Go-Rock, etc…).

En plus, l’humour est bien présent, comme le délire autour des poses de Ranger ou les noms donnés aux méchants (“type suspect”, “type assez suspect”, “type pas trop suspect”, etc…) et un tas d’autres trucs dont je vous laisse le plaisir de découvrir.

Le seul bémol, c’est le héros. Les Japonais aiment bien faire des héros de 12 ans afin que le public visé s’identifie. Celui du premier Pokémon Ranger était un peu plus vieux, toujours ado certes mais il avait une certaine carrure et des grandes jambes. Là, c’est un collégien, je suis d’accord pour que les héros soient jeunes et vigoureux, mais de là à prendre des gosses… En plus le character design est bien moins réussi. Dans le premier, on avait un jeune homme et une fille presque mignonne. Dans NSA, on a un gamin avec un épi bizarre et une nana à frange… Depuis quand les Rangers sont des gosses ?!

Graphismes

Tu es sûr que tu veux savoir la réponse ?

Pas de grandes différences avec le précédent, si ce n’est quelques sprites en plus par-ci par-là histoire de rajouter du détail. Le premier était déjà très beau et il n’y a pas de raison que ça change.

Les lieux et décors sont très colorés et assez riches en éléments, fleuve, arbres, prairies, ponts, parcs, etc… Bref, c’est pas du Tales of Symphonia ici.
D’ailleurs, vous allez en voir du pays car, même si les villes sont aussi peu nombreuses qu’avant, comparativement à la licence Pokémon de base, les lieux sont beaucoup plus variés, il ne manquerait presque que rien pour compléter le tableau. Là, vous vous êtes peut être dit : “merde, ça veut dire qu’il y a de l’eau” et vous avez raison, il y a bien un niveau aquatique… Le jour où les développeurs comprendront que ça n’a rien de nouveau d’ajouter des niveaux sous-marins on aura peut être fait une avancée vers des jeux aux passages moins chiants et inmaniables.

Bref, concernant les Pokémon, ceux-ci apparaissant toujours sur les routes, contrairement aux version de base qui nous les distribuent aléatoirement, ils sont visibles dans leur formes propres. L’intérêt étant de nous montrer des Pokémon dans leur écosystème, si vous voulez un Carabaffe pour éteindre un feu par exemple, c’est vers une rivière qu’il faudra chercher. Même quand plusieurs Pokémon, humains et autres détails apparaissent en masse à l’écran, le jeu ne ralentira jamais, ce qui est pour moi normal, mais pas pour certains développeurs. D’ailleurs, il le faut bien, car vu la vitesse à laquelle vous tracerez vos cercles de capture… enfin je veux dire “communiquer vos sentiments aux Pokémon pour se lier d’amitié avec eux”, mieux vaudrait que ça rame pas.

Le seul détail qui a été enlevé, c’est l’effet de casse lorsque le Pokémon brise le tracé avec une attaque. Avant, la ligne se brisait dans un effet orange, maintenant, c’est juste un petit cercle en verre avec écrit le nombre de dégâts, ça l’fait moins je trouve. Sinon, comme je l’ai dit, c’est de la très très belle 2D qui butte de très loin tous ces RPG en 2D avec leurs personnages en papier.

Gameplay

Le premier boss aux allures de serpillère.

Rien de tel qu’un bon Tortank pour éteindre ce feu.
Le niveau aquatique… Et grimper sur un Pokémon n’arrange rien.

En apparence, le gameplay n’a pas vraiment changé.
Le but est encore de capturer les Pokémon à l’aide du Capstick et surtout de votre stylet. Pour les capturer, c’est un peu plus musclé que de naviguer dans des menus. Il faut faire un certain nombre de cercles autour du Pokémon pour se lier d’amitié avec lui (on fait tous ça dans la vie).

Là où dans le premier épisode il fallait tracer un nombre de boucles, bien définies par un chiffre en bleu au dessus du Pokémon, il faut maintenant remplir une jauge.
La jauge ne se remplit néanmoins pas de manière définitive, si vous arrêtez de tracer des cercles pendant un petit moment, elle se videra. La capture des Pokémon pourrait paraître plus simple, étant donné qu’avant il ne fallait pas s’arrêter jusqu’à la fin du décompte. Dans NSA, ce petit temps de répit autorisé entre deux boucles est compensé par une plus grande résistance des Pokémon, par là je veux dire qu’il faudra plus de boucles qu’avant pour les capturer.

Une jauge de capture, c’est aussi une bonne excuse pour mettre des boss, qui étaient malheureusement peu nombreux et pas très résistants. Là, va falloir s’y mettre pour les capturer car leurs jauges sont biiien plus grandes que celles des Pokémon de base et va falloir en tracer des cercles avant de les capturer.

Pour capturer les Pokémon, vous devez tracer des boucles, mais pour remplir la jauge, vous pouvez vous aidez de vos Pokémon amis capturés au préalable. Chacun a une capacité en fonction de son type et chaque à son utilité pour la capture. Par exemple, j’aime beaucoup les Pokémon du type roche car en utilisant leurs capacités de soutien, vous pouvez utiliser votre stylet pour balancer des pierres sur le Pokémon et ainsi faire augmenter la jauge d’amitié car c’est connu, on jette tous des pierres sur les gens pour devenir amis avec eux 🙂 Tous les pouvoirs n’agissent pas que sur le Pokémon, par exemple, avec des ténèbres comme Noctali, vous pouvez faire disparaître des obstacles gênants à la capture. Chaque type à son utilité précise, à vous de réfléchir sur le Pokémon à choisir pour plus facilement capturer un feu et les aides qui sont le plus adaptés à votre style de jeu.
Attention, votre Casptick n’est pas en adamantium, et il perdra des points d’énergie si le Pokémon le brise avec une attaque. Mais, comme dans le précédent opus, vous pouvez le faire grimper de niveau en amassant de l’expérience due aux captures. Personnellement, j’ai trouvé que les Pokémon attaquaient beaucoup moins que dans le précédent épisode. C’est dommage, même si je suis bien content de ne plus tomber sur des salopards comme Farfuret.

Les Pokémon que vous capturerez se lieront d’amitié avec vous et ces amis vous seront surtout utiles pour interagir sur l’environnement. Y’a l’feu ? Appelez un Carabaffe. Un tronc bloque la route ? Trouvez un Herbizarre et coupez-le. Rien n’a changé de ce côté-là. Lorsque vous cliquez sur l’obstacle, il vous donne une indication sur l’élément ainsi que le force nécessaire qu’il faudra pour s’en débarrasser. Il vous suffit juste de trouver le Pokémon adéquat, puis de faire un cliquer/glisser jusqu’à l’obstacle pour s’en débarrasser.
Certains Pokémon électriques, comme les Pikachu redonnent de l’énergie au Capstick, pratique en cas de pépin.








L’une des nouveautés de NSA au niveau du gameplay, en plus de la jauge, c’est l’ajout des capacités terrains de zone. Si vous en avez marre de courir, capturez un Doduo, cliquez dessus et vous pourrez vous en servir comme étalon pour aller plus vite. C’est également le cas pour le vol et le surf.
Enfin, des capacités zones spéciales peuvent être utilisés à certains endroits, lorsque vous voyez votre mini-vous avec un “?” sur la tête, c’est qu’il juge bon qu’un Pokémon use de sa capacité zone à cet endroit précis.

Dans Pokémon Ranger, votre Pokémon partenaire, Négapi, était le tout premier Pokémon que vous aviez capturé, il s’est attaché à vous et vous a suivi jusqu’au bout du monde, comme Sacha (Ash, pour les Québécois) et son Pikachu. Sa capacité de paralysie était bien pratique et c’était le seul Pokémon partenaire que vous pouviez avoir.

Dans NSA, yen a pour tout les goûts, on ne vous impose pas de Pokémon particuliers, même avec le tout premier vous aurez le choix parmi deux autres.
Les autres Pokémon partenaires, vous les obtiendrez lors des quêtes où vous les aiderez alors qu’ils sont dans la merde. C’est là où l’on voit la patte du développeur dans ce choix. Alors que Hal Laboratory vous imposait un Pokémon, Game Freak préfère vous laisser choisir parmi un panel qui n’appartient qu’à vous de faire grandir. Pour en changer, il vous faudra aller à la ferme de votre papa (car oui, vous n’êtes plus SDF). À vous de voir lequel vous plaît le plus, en fonction de ses capacités, son aide, son apparence, etc…
Ne vous quittant jamais, votre partenaire a lui aussi le droit à une jauge sur le Capstick et il faudra qu’elle soit pleine pour pouvoir l’invoquer, pour la remplir, c’est la même méthode qu’avant : les boucles !

J’ai parlé d’un niveau aquatique plus haut et, comme vous le savez de par votre expérience, les niveaux aquatiques ont toujours été la plaie du jeu vidéo. Aucun développeur n’a réussi à faire un niveau aquatique bien fichu (étant donné que la gravité n’est pas la même et qu’on nage).
NSA n’est évidemment pas une exception à la règle. Même si vous n’aurez pas à subir les principales caractéristiques chiatiques de l’eau, vous devrez faire face à un effet de glissement, comme sur la glace. Difficile de faire un demi tour correct ou de tourner, tout simplement.

Je pense que c’est à peu près tout au niveau du gameplay, si vous voulez plus de précisions sur les bases, allez lire mon test sur le précédent épisode (m’enfin vous n’êtes pas idiot non plus). De toute façon, avec les deux heures de tutorial que vous allez vous tapez, montre en main, vous n’allez pas apprendre par l’expérience.

Je n’ai aucun problème technique à recenser, le tracé est impeccable et tout répond bien. Il y a parfois de petits problèmes pour cliquer sur un Pokémon, mais rien de particulièrement casse-couilles, sinon je vous assure que j’aurais gueulé plus que ça :p

Musiques et sons

Quel charisme…


Là encore, c’est pas du mémorable, comme dans le précédent en fait.

Certains thèmes sont recyclés, ceux qui essaient sûrement de devenir importants dans la série comme l’entrée des méchants ou la base Ranger.
D’autres ont été remixés, si vous avez joué au premier, le thème de l’école vous rappellera quelque chose et vous vous direz “Si toutes les musiques ont été remixées de cette manière-là, ça va donner” étant donné qu’elle est plutôt pas mal. Mais en fait non, les autres sont sympathiques et dans la veine de la série mais on les oublie dès qu’on sort de la zone.

Je ne reproche rien, comme je l’ai dit dans mon test du précédent épisode, ça ne sert à rien pour une petite licence sans prétention qui sera vite oubliée de faire dans le mémorable. La musique est là pour faire son boulot, c’est à dire d’accompagner l’environnement du joueur et c’est réussi. Aucune musique déplorable, même pas celle du menu, c’est la joie.

Je regrette juste qu’ils aient enlevé le jingle pour l’entrée des méchants. Celui du groupe Go-Rock était sympatoche, là il n’y a plus rien et on entre direct dans le thème musical.

Au niveau des sons, les cris de Pokémon, datant de la Game Boy, les rendent plus vivants que des voix comme celles de l’animé par exemple, les animaux ça crie c’est tout.
Certains sont par contre plutôt stridents, comme le singe de fin dont je me souviens plus du nom. Certains trouvent dommage que ces affreux cris Game Boy n’aient pas changé en 10 ans. J’en fais partie, mais sur portable c’est pas vraiment gênant, il va par contre falloir penser à revoir tout ça si Game Freak décide de faire un vrai épisode sur console de salon. Vous verrez que, comme avec chaque épisode de Pokémon, vous allez parfois pousser le même cri que le Pokémon, ^^ on a l’air bien con, mais c’est les petites choses.

Durée de Vie :

À défaut d’avoir sauvé le monde, vous avez sauvé… une vache !
Je hais les limaces. Berk !

Le premier épisode était un peu court, chaque mission, ou presque, nous donnait un grade de Ranger supplémentaire et le jeu se terminait peu après avoir obtenu le dixième.

Dans NSA, il y a toujours dix rangs, mais sachez qu’actuellement, j’ai 11h30 de jeu à mon actif et je n’en suis qu’au rang 5, soit la moitié du jeu. La raison ? Des missions beaucoup plus longues, une carte beaucoup plus grande qu’il vous faudra bien explorer et surtout, l’ajout RPG principal de cet épisode : les quêtes.

Les quêtes sont tout à fait facultatives et elles ne changeront rien au scénario. Lorsque vous voyez un personnage avec un “…” au dessus de la tête, c’est qu’il a un problème et c’est votre devoir de Ranger que d’aller l’aider et de capturer le Pokémon qu’il souhaite (pour diverses raisons). Une fois accomplie, la Fédération Ranger vous envoie des améliorations pour votre Capstick, comme des résistances aux éléments ou davantage de force par exemple. Il y en a pas loin de 60 dans tout le jeu, vous ne pouvez en accepter qu’une à la fois et vous pouvez abandonner en cours de route.
Les quêtes, c’est aussi le moyen de se faire des Pokémon partenaires. Si vous aidez un Pokémon qui est dans la merde, il deviendra à coup sûr votre ami. À vous de voir ensuite si vous en voulez d’autres.

Les quêtes ne sont pas très longues et elles ne vous demandent pas d’aller apporter un colis au facteur à l’autre bout du pays, pour ensuite aller le donner à la belle-mère habitant à l’opposé, qui vous demandera avant de lui étendre son linge. Elles sont courtes et faciles, ce qui est très bien pour ceux qui n’aiment pas faire dans le détail ou qui n’aiment pas les RPG.

Personnellement, j’ai plus accroché à celui-ci qu’au précédent, l’autre étant un peu plus hasardeux dans ses missions. Dans NSA, vous allez percer le mystère au fur et à mesure des missions qui deviendront de plus en plus intéressantes. Même si le jeu est long a démarrer avec ces deux horribles heures de tutorial et les missions aux ras des paquerettes de vos débuts dans le métier, la suite est beaucoup plus prenante parce qu’on a réellement envie d’appartenir à une organisation et d’avoir un but précis, ce qui n’était pas vraiment le cas dans le premier.

NSA étant marqué du logo de la Nintendo Wifi Connection, on pourrait s’attendre à du online en multi. Ben non, le jeu ne se prête pas plus au online que le précédent, par contre, vous pouvez télécharger des missions supplémentaires dans le menu du réseau Ranger, mais il faut avant tout avoir réuni quelques conditions pour ça.

EN BREF…

HISTOIRE : 13/20

Un scénario identique, mais beaucoup plus intéressant et prenant que dans le précédent. Dommage que le héros ait 12 ans…

GAMEPLAY : 16/20

De gros ajouts pour cette version. Une jauge et une plus grande résistance des ennemis, et la possibilité de changer de Pokémon partenaire. Game Freak n’était même pas obligé de rendre mieux un système qui était déjà très bien et ils l’ont fait. Par contre, on ce serait très bien passé du niveau aquatique, qui n’est certes pas mauvais mais que je sanctionne juste par principe :p

GRAPHISMES : 15/20

Identique au niveau visuel et technique avec le premier (c’est-à-dire très bon), je regrette juste que certains effets aient disparu.

MUSIQUES et SONS : 12/20

Rien d’énorme, mais rien d’énervant non plus, du correct quoi et on en demande pas plus.

DURÉE DE VIE : 15/20

Une durée de vie largement augmentée et une aventure beaucoup intéressante et mystérieuse. L’ajout RPG, représenté par les quêtes, est très bien dosé de sorte que même les anti-RPG pourront en faire quelques-unes. Néanmoins, je condamme toujours ces deux insupportables heures de tutorial.

Note Finale : 16/20
Alors que Pokémon Ranger premier du nom était déjà un jeu très sympa, il n’a maintenant plus qu’une allure de test comparé à NSA. Beaucoup plus long et intéressant, avec un gameplay retravaillé qui rend la capture plus souple et moins stressante, NSA a réussi un très bon mix entre action et RPG, sans que ce dernier étale ne serait-ce qu’un peu de ce qui le rend si soporifique. Si votre DS prend un peu trop la poussière en ce moment, c’est le moment de lui faire vivre une grande aventure de Pokémon.