Nous mettons nos archives à disposition mais la mise en page n’est pas encore corrigée

Tests : NESGBSNESN64GBANGCDSWii3DSWii U

Mario Kart 8 : DLC 1 & 2

Le

par

Dans le milieu du jeu vidéo, les consommateurs n’aiment pas être pris pour des pigeons. Pourquoi ? Sûrement la faute à Internet, grande bergerie où la plus galeuse des brebis montre souvent les chemin aux autres. Alors que le DLC ne date pas d’hier, beaucoup s’offusquent encore lorsqu’ils sont annoncés, alors que, les tendances le montrent : ça fonctionne et même Nintendo s’y est mis ! Qui n’a jamais « craqué » pour une rallonge d’un jeu qu’il a apprécié ? Lorsque le grand, le magnifique, l’exceptionnel Mario Kart 8 propose 12€ pour seize courses, huit véhicules et 6 personnages, on cherche les petites lignes où il est mentionné que l’on devra payer pour la HD et la couleur, sans évidemment les trouver. Maintenant que l’ensemble du contenu additionnel est disponible, voici un petit tour des nouveautés, ainsi que du nouveau mode 200cc gratuit.

Pour retrouver le test de Mario Kart 8, cliquez ici.

Kart de coeur pour The Legend of Zelda

Sorti en Novembre 2014, le premier DLC fut accueilli par deux extrêmes : ceux qui étaient ravis de voir Link débarquer dans Mario Kart et les extrémistes sectaires qui ont hurlé au scandale. Ce fut en effet une première dans l’histoire de la série : la série Zelda fit pleinement son entrée dans l’univers Mario, avec l’arrivée de Link et d’un circuit Hyrule. Finis les clins d’œil planqués et perceptibles par les élus, les stars se mêlent à présent autre part que dans Smash Bros. (série populaire en grande partie pour ce mélange).

Link devient donc un pilote, en adoptant son style Skyward Sword pour mieux s’adapter à l’univers rond de Mario Kart. Il rejoint la première tranche des pilotes lourds, avec par exemple Waluigi, Harmonie et Donkey Kong, de par sa grande taille, et fera valser son épée en l’air lors des figures. Beaucoup s’étonneront de le voir crier de joie, chose assez rare, mais rassurez-vous, aucune parole ne sort de sa bouche pour autant. Omniprésent durant des parties online lors sa disponibilité, il se fait maintenant plus rare, les gens préférant les vrais poids lourds (Bowser, Wario, Morton) au compromis que représente la catégorie de Link.
Deux autres personnages bien moins intéressants bien que mignon ont également accompagné le héros de la légende : Mario Tanuki et Peach Chat, tous les deux étant en catégorie médium, avec un avantage vitesse pour Mario, que Peach récupère en accélération.

Les DLC inintéressants Mercedes ayant bien vite été enterrés par les joueurs online, nous récupérons ici quatre véhicules, à commencer par la moto de Link ! Les sectaires n’ont décidément pas fini de chouiner, car cet engin aux allures de cheval est une moto de course prenant des virages extrêmement serrés ! Je n’ai personnellement jamais réussi à maitriser ces types de moto correctement. Les trois autres véhicules sont des voitures, dont l’inoubliable Intrépide (sur la boite de Mario Kart DS), visiblement très appréciée, qui fait son grand retour dans la catégorie des karts qui tracent ! Le kart Tanuki n’est pas très intéressant et n’est d’ailleurs jamais sélectionné en ligne, a contrario du Blue Falcon, excellent kart proposant un bonus de performance dans à peu près tous les domaines, mais qui est du coup un peu léger.

nullnullnull

La partie intéressante du DLC est évidemment les circuits, au nombre de huit. Point positif d’emblée, les circuits inédits sont plus nombreux que les rétros (cinq contre trois).
La vedette est bien sûr le circuit Zelda, bien qu’il ne soit pas le plus intéressant des circuits. Une petite balade autour du château qui comporte son lot de virages serrés en fin de course et son passage en deltaplane. La gravité n’est malheureusement pas présente, mais un gimmick Zelda a été ajouté de manière assez sympathique : lors de l’entrée au château, un tremplin accélérateur apparaitra si vous allumez les trois bornes présentent dans l’escalier (en passant à côté). Les autres joueurs peuvent également les allumer à votre place, mais faites attention, le tremplin disparait vite et ne comptez jamais sur les autres pour le faire apparaitre à votre place, c’est un coup à se manger le mur !
Un circuit très sympa, bien qu’assez classique. J’aurais personnellement préféré une balade autour du Royaume, à la manière du circuit ski, sans boucle.

Le clou du spectacle est bien sûr ce circuit inattendu de F-Zero : Mute City ! Bourrés d’accélérateur et entièrement en gravité, Mute City est un circuit en trois tours extrêmement rapide, avec un passage secret final pour ceux qui possèdent un ou plusieurs champi. Il est très apprécié lors des courses en ligne principalement pour sa vitesse mais aussi pour son ambiance F-Zero, série qui nous manque beaucoup. Un dernier circuit adapté d’une licence de jeu est celui d’Excite Bike ! Comme le jeu NES d’origine, le tracé est très simpliste et est d’ailleurs identique à celui du Parc Baby de la Gamecube, en bien plus allongé car il ne vous demandera que trois tours de piste. L’originalité du circuit étant les fameuses bosses, forçant aux figures, cela peut vite tourner à l’anarchie entre les joueurs, les carapaces pouvant parcourir de très longues distances. Pour éviter la monotonie, la disposition des éléments change à chaque course (sauf en contre-la-montre), un détail plutôt bienvenu !
Enfin, les deux autres circuits inédits sont également plutôt bons. Le premier prend place dans un décors chinois sur le dos sinueux d’un dragon. Vous avez plutôt intérêt à bien maitriser vos dérapages pour ne pas vous faire distancer et vous prendre tous les murs. Malheureusement, ce circuit est gâché par le fameux passage carotte de la fin, le même que celui du désert Sec Sec de la Gamecube : un champi vous permet de passer sur l’herbe et ainsi de bien griller le tout dernier virage. Ce qui est extrêmement rageant pour les premiers. Changement total de décor pour un circuit en Antarctique, qui propose deux routes, bien que collées l’une à l’autre, aux joueurs. Prendre l’une ou l’autre ne change pas grand-chose, si ce n’est que la verte fait gagner plus de temps, mais est forcément plus risquée lors des joutes en ligne.

nullnullnullnull

Les trois circuits rétro font également preuve de bon goût ! Premièrement, la Rainbow Road de la Super Nintendo, courte mais très anguleuse, appréciée des retrogamers et aussi de ceux qui maitrisent suffisamment les dérapages pour prendre un demi-tour d’avance ! L’ile Yoshi de Mario Kart Double Dash est également un excellent choix pour son tracé sinueux qui demandera tous vos talents dans les nombreux virages. Une course très appréciée en ligne !
Enfin, la Mine Wario de la Wii. Un circuit que je n’aime personnellement pas beaucoup, mais pour des raisons purement subjectives de chance. Le cadre reste néanmoins sympa, avec encore une fois un bon tracé et des ajouts de tremplins sur certains virages en angles droits.

Pour 8 euros, Nintendo ne nous arnaque absolument pas sur ce premier DLC ! Le contenu est excellent, que ce soit pour la proposition des nouveaux circuits et la sélection des anciens, qui se devait d’être parfaite, à mon sens, pour un contenu additionnel payant. Les deux fautes de goût que sont les circuits Désert Sec Sec de la GameCube et Toad’s Turnpike de la N64 sont pardonnables au milieu des quatorze autres bons circuits rétro d’origine, cela aurait été dommage si ne serait-ce qu’un circuit avait été mauvais.
Mais parce que vous avez forcément pris le second pack, même si Nintendo n’avait pas fait la ristourne de 4€ pour les deux achetés, vous avez attendu le deuxième DLC consacré à Animal Crossing.

nullnull

Pas de kartier au village Animal Crossing

Après un hiver passé à retourner le jeu de long en large, le deuxième DLC est attendu par nombres de compétiteurs, restés très nombreux en ligne. Attendu pour mai, il sera finalement un peu en avance et prévu pour la fin avril !

Les personnages annoncés sont aux nombres de trois, dont un pouvant être version fille ou garçon : le villageois ! N’en déplaise aux féministes et tous les défenseurs de la parité, les deux avatars d’Animal Crossing ne sont pas identiques, bien qu’étant tous les deux considérés comme de classe intermédiaire, ils ne sont pas rangés dans la même strate (cette classe-ci en contenant quatre). Ils échangent ainsi vitesse et accélération à part égale sans que vous ne vous doutiez de la supercherie. Si la classe intermédiaire comporte quatre strates, c’est à cause de Peach chat et Mario tanuki qui en ont créé une chacune, les villageois n’ont fait que se glisser à côté des deux précédents personnages additionnels, se posant ainsi comme de vulgaires clones, avec d’un côté les mâles et de l’autre, les feumeu. Une sombre histoire d’économie, surtout quand on sait que l’équilibrage est ce qui coûte le plus cher dans un jeu de ce type. Dommage.

Heureusement que la brave Marie entre dans la deuxième strate de la classe petit, celle occupée par Toad, Koopa, Maskass et co. Elle bénéficie d’un bon ratio vitesse/accélération par rapport aux bébés, qui se rattrapent néanmoins très bien sur la maniabilité tous terrains confondus. Enfin, Bowser squelette entre direct dans la catégorie poids lourd ultime, représenté par son homonyme bien vivant.

nullnull

Alors que le précédent DLC avait créé de nouveaux personnages à part entière en termes de statistiques, les villageois n’ont fait que les copier et c’est bien dommage. Pourtant, le copié-collé ne s’arrête pas là et s’appliquent également aux véhicules. Le kart scarabée du villageois est en tout point semblable au Blue Falcon du précédent DLC, tout comme la nouvelle voiture de course blanche et rouge qui singe les performances de l’intrépide, également venu du premier DLC. Si beaucoup de véhicules ont des statistiques semblables dans Mario Kart, il est dommage que cela soit aussi marqué et surtout identiques dans les deux contenus additionnels. Seul le Buggy de Bowser squelette amène son originalité, le scooter de Marie est également une copie, mais du casting original cette fois. Ce qui est plus pardonnable.
Le choix des véhicules se fait davantage au feeling (« il me plait bien celui-ci ») et surtout à notre manière de conduire dans un Mario Kart, ces choix des développeurs sont néanmoins pas très corrects pour les joueurs « pro ». Les autres s’en ficheront et seront amusés par un kart scarabée.

Passons maintenant aux circuits. Contrairement au précédent DLC, il contient autant de circuits inédits que rétro. Néanmoins, deux d’entre eux ont fait preuve d’un tel travail de remise à neuf qu’il sont méconnaissables !

La vedette est cette fois-ci accordée aux invités de ce DLC : le circuit Animal Crossing ! Très sympa et avec un tracé comprenant pas mal de virages assez proches et anguleux, son originalité première est l’alternance des saisons qui se fait à chaque sélection du circuit. Le changement de la météo influence le décor, mais également quelques portions de pistes, comme les bonhommes de neiges en plein milieu de la route, les paquets de feuilles mortes ou la disparition des tremplins sur la plage. Le circuit est excellent et fait le tour du village, il est agréable même pour ceux n’ayant jamais touché à la série !
Point d’autres collaborations avec d’autres séries de Nintendo, si ce n’est le retour de F-Zero avec Big Blue ! Un circuit sans boucle, moins rapide que Mute City mais très plaisant à parcourir avec ses nombreux virages, et la variété qu’il apporte tout au long de la course.

nullnullnull

Les deux circuits inédits et originaux proposent deux thèmes très différents : la nature et l’urbanisme !
Le premier se déroule sur un arbre géant, à la verticale donc, que l’on redescend par la suite. Pas particulièrement ingénieux dans son tracé, il est néanmoins sympa à parcourir, comme la plupart des circuits de ce jeu, notamment parce qu’il ne demande jamais de vraiment stopper la vitesse. Le second se déroule dans le métro et possède un tracé serpenteux aux choix de routes multiples, ainsi que quelques virages pervers sur la fin. Attention à ne pas rouler sur le gravier et encore moins de foncer dans le métro, ce qui vous arrivera bien souvent surtout en 200cc…

Jusque là, les DLC de Mario Kart 8 était à l’image du reste du jeu, excellent. Néanmoins, l’un des circuits rétro vient enlaidir le tableau : le Parc Baby de la Gamecube !
En plus de faire maintenant doublon avec Excitebike, le Parc Baby est un circuit que je n’ai jamais aimé. Les raisons sont multiples : trop court, trop anarchique et issu d’un jeu nul. Malgré tout, il ont réussi à le rendre encore plus nul ! Les objets sont désormais éparpillés par groupe de deux, il est donc facile de faire un ou deux tours sans en chopper un seul et, de plus, les dérapages de ce Mario Kart n’étant pas identique à ceux de la Gamecube, il est assez difficile de réussir proprement les virages en épingle à cheveux. Sans parler que la moindre banane vous fera perdre six places au bas mot… Il parait que ce circuit est très apprécié des fans, tout comme son jeu d’origine…
Dommage, heureusement que le choix des trois autres circuits contrebalance on ne peut mieux cette erreur de goût. Premièrement, l’un des meilleurs circuit de la 3DS arrive en HD : Koopapolis ! La ville futuriste de Bowser sous la pluie est un bonheur de design, avec ses virages très tendus. Il n’a absolument pas été retouché et fait le bonheur, ou la rage, des différents compétiteurs online en 200cc !

nullnullnull

Néanmoins, les deux meilleurs circuits rétro sont la Route Ruban et le Pays Fromage, deux circuits complètement oubliés de la GBA ! Avec un lifting complet, l’ajout de relief et de nombreux raccourcis ajoutés, les deux circuits sont méconnaissables, alors qu’il ont gardé le même tracé qu’à l’époque. Un gros travail a été fait pour moderniser ces circuits et leur rendre justice, c’est d’autant plus agréable que les deux autres rejetons du mode 7 (Donut Plain et Mario Circuit GBA) gardent leur route toute plate.

Un autre excellent DLC, bien qu’avec quelques fainéantises et une faute de gout si on veut jouer les tatillons. La grosse nouveauté ajoutée le 23 avril 2015 ne sera pourtant pas un contenu payant mais une mise à jour diabolique : le 200cc.

null

200cc, l’élite de Mario Kart

Pas besoin de dépenser un kopeck pour obtenir ce nouveau mode de jeu, il est offert de bon cœur.
Le 200cc fait suite aux modes de difficulté/vitesse présents dans la série depuis Super Mario Kart. La fluidité ayant toujours été l’exigence des développeurs, on se doute qu’un quatrième niveau de difficulté a été envisagé il y a longtemps, mais qu’il n’avait pas pu être mis en place, jusqu’à aujourd’hui.

Cette nouvelle cylindrée carbure vraiment. Pour avoir connu les joies de Mario Kart 64 en 60hz et même légèrement accéléré par l’émulateur, cela n’allait pas au niveau du 200cc de Mario Kart 8 qui ferait presque passer le mode 150, que l’on trouvait rapide à la sortie du jeu, pour mou. Ici, c’est tous vos repères qu’il faudra modifier et même votre façon de jouer. Pour une purge, c’en est une. Lors des premières parties, la vitesse fait plaisir à voir, mais cela dure généralement jusqu’au premier virage où l’on se vautre dans le mur du second juste après. Tous les repères visuels que l’on a acquit en une année de Mario Kart, à savoir à partir de quand il faut commencer à déraper pour bien prendre le virage, sont morts. C’est extrêmement déroutant, pour ne pas dire frustrant, de se retrouver à conduire n’importe comment sur des circuits que l’on a parcouru des centaines de fois. Le tout est évidemment accentué si vous jouez en ligne par les autres compétiteurs qui donnent l’impression d’être comme des poissons dans l’eau à peine deux petites heures après la sortie du DLC (ça sent suffisamment le vécu ?). Bien sûr, en vous concentrant uniquement sur votre conduite, c’est-à-dire ne pas tomber, votre gestion des objets sera le cadet de vos soucis et vous aurez peur d’utiliser le moindre champi. Laissant les autres vous éclater sans peine.
Pourtant, à force d’entrainement et de gamelles, le déclic viendra et ce mode 200cc deviendra comme une sorte de messie. Extrêmement rapide, technique et fun, la maîtrise de ce mode de jeu est très plaisante ; les parties deviennent on ne peut plus intenses et remporter la victoire est d’autant plus gratifiant.

nullnullnull

Si vous peinez encore à comprendre son fonctionnement, il repose sur une chose : les freins. Cela peut paraitre une aberration de les utiliser dans un Mario Kart , mais c’est également ça qui modifie notre façon de jouer. Le secret, c’est de déraper en freinant, soit A+R+B. Freiner vous permet non seulement de ne pas trop partir sur le côté, mais aussi d’ajuster la position de votre kart avant de repartir, attention toutefois à ne pas freiner trop longtemps, car si votre véhicule perd trop de vitesse, vos flammes de boost conférées par le dérapage s’en iront. C’est une sorte de science, un savant mélange de technique que l’on maîtrise petit à petit. Vous aurez au début tendance à trop freiner dans les virages, laissant ainsi d’autres joueurs passer devant vous, et vous finirez par anticiper correctement l’angle d’attaque de vos dérapage pour n’avoir à donner qu’un léger coup de frein lors d’un virage trop tendu, laissant votre vitesse toujours au top. Une fois à l’aise, vous verrez que changer votre combinaison de pilote/véhicule n’a aucun intérêt. Personnellement, je ne l’ai jamais fait et beaucoup de joueurs continuent à prendre des Bowser en ligne.

Quand bien même ce mode propose un écart de vitesse trop important par rapport à celui constaté entre le 100cc et le 150cc, c’est un véritable plaisir pour les fans de Mario Kart souhaitant aller plus loin dans l’exigence. Mieux, cela nous fait redécouvrir le jeu et relancer son intérêt un an après sa sortie, et ce GRATUITEMENT ! Comment ne pas rallumer son jeu ?

nullnull

Aah, si tous les DLC pouvait être du niveau de ce de Mario Kart ! Pour 12€, vous avez une moitié de jeu en plus, soit seize circuits (parce que c’est le plus important, les circuits). Ces derniers sont en plus excellents, à une faute de goût près, et proposent une véritable plus-value pour les nombreux joueurs toujours présents en ligne : comprenez par là que les circuits additionnels sont forcément plus techniques que la moyenne. Quand bien même vous refusez de payer pour ce genre de pratique, que je trouve ici parfaitement justifiée d’un simple rapport qualité/prix, le nouveau mode 200cc offert doit vous permettre de relancer le jeu. Une chose est sûre, Nintendo aura fort à faire pour que Mario Kart 9 soit meilleur que celui-ci qui est pour moi, l’épisode ultime.

Aller plus loin :

Voir aussi :

, ,