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Tests : NESGBSNESN64GBANGCDSWii3DSWii U

On a testé la Nintendo Switch !

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Comme une grande partie de la presse française, une fraction de l’équipe de NintenDomaine a eu la chance de tester la Nintendo Switch et la plupart des jeux du line-up, au Grand Palais de Paris. Entre les lumières et les petits fours, on a donc pu poser nos mains sur cette nouvelle console, à peine quelques heures après sa présentation à Tokyo. Ok, mais day one du coup ?

Quand la Switch s’incruste au Grand Palais

Pour ce salon temporaire, Nintendo France a fait les choses très bien, comme à son habitude. On a pu voir la Switch sous toutes ses coutures et, même si d’énormes antivols étaient attachés aux consoles, il était assez simple de tourner et retourner cette petite Switch. Parce que oui, elle est petite, mais aussi très fine, surtout si on compare avec la Wii U GamePad. Je ne vais pas vous refaire toutes les caractéristiques de la console, mais une chose est certaine : son écran de 6,2″ est un plaisir pour les yeux. Maintenant, salon oblige, les conditions de tests n’étaient pas optimum. Juger de la qualité de la luminosité ou de la profondeur des noirs alors que des loupiotes de toutes les couleurs éclairent la pièce, ce n’est pas évident. De même, nous n’étions pas chez nous, donc se la péter à poser la console dans son socle pour ensuite jouer qu’avec les Joy-Con n’était pas non plus possible pour tout le monde.

Du coup, on va plutôt se concentrer sur les jeux et sur les différentes façons de jouer. Et encore une fois, merci Nintendo France d’avoir pensé à proposer toutes les configurations de jouabilités : Joy-Con dans les mains, Switch en mode nomade, Joy-Con avec Joy-Grip ou encore Pro Controller, tout était là. Et pour ce qui est des jeux, voici la liste de ceux présents lors de l’événement :

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Et non, nous n’avons pas pu tester Super Mario Odyssey, même s’il était présent. En gros, son stand était composé d’un énorme écran géant avec la vidéo de présentation qui tournait en boucle, et d’un Mario en carton avec lequel on pouvait prendre un selfie et évidemment, vous êtes au courant si vous suivez notre page Facebook. Vous avez aussi certainement remarqué que dans la liste ci-dessus, certains titres ne sont pas suivis de nos pseudos. Eh bien c’est tout simplement par manque de temps. Certains jeux n’ont pas pu être essayés, puisque nous n’avions que deux heures pour faire le tour du salon. Et quand on teste une nouvelle console, le temps passe très vite !

1-2 Switch

Duel au Far West :
S’il y a un mini-jeu de 1-2 Switch qui a été mis en avant durant la conférence, c’est bien celui-là. Fidèle au principe des party games sauce Nintendo, on comprend très vite comment jouer et… s’amuser ! Prenez votre joy-con un peu de côté, de sorte que votre index soit posé sur la gâchette, relâchez votre bras et attendez le top départ sonore. Même pas besoin de regarder l’écran pour savoir quand ça commence. C’est parti pour un duel de regard avec votre adversaire, tout est bon pour le déstabiliser en attendant le signal. Quand celui-ci retentit, on lève le bras et PAN ! Le gagnant est le plus rapide, mais attention à ce que votre angle de tir soit jugé correct par la console. Même si vous êtes plus rapide, si vous tirez à côté vous êtes bon pour la défaite (à moins que votre adversaire soit aussi maladroit).
Ce jeu est d’une simplicité enfantine. Cependant, le non-besoin de l’écran vous donne la possibilité de créer plein de variantes possibles comme commencer dos à dos, posez votre arme à l’autre bout de la pièce ou je ne sais quoi d’autre. Sa rapidité d’exécution permet aussi de faire un roulement très rapide entre les participants. De quoi faire tourner en soirée avec un petit shot punitif pour le perdant ?

Parade à main nue :
A l’image de Duel, ce jeu est en un contre un et sans aucun besoin de l’écran. Un joueur utilise le Joy-Con comme katana. L’autre va s’en servir comme détecteur lorsqu’il frappe dans ses mains. Le détenteur du katana a tout le loisir de frapper quand il le souhaite, il peut aussi faire des feintes. Le but ? Réussir à toucher l’autre quand celui essaiera d’arrêter l’arme à l’aide de ses deux mains. C’est rigolo, bien qu’on risque de vite s’en lasser. Le jeu a au moins le mérite de montrer la précision des Joy-Con dans la détection de mouvement, impossible de dégainer le katana par un simple coup de poignet, comme on pouvait le faire au temps de Wii Tennis.

Compte les billes :
Probablement le mini-jeu qui illustre au mieux la « vibration HD » des Joycons. En soit, cela consiste juste à compter des billes. Elles se trouvent cependant à l’intérieur d’une boite virtuelle représentée par votre Joycon et vous devez pencher légèrement celui-ci afin de déduire le nombre de billes qu’il y a. L’effet, difficilement explicable car il ne repose que sur des sensations, est assez incroyable. On sent effectivement les petites billes se balader dans la manette et même les chocs très subtil des billes qui s’entrechoquent. Si le jeu est gadget, on peut imaginer ce que ces vibrations HD peuvent apporter en sensations, comme la pluie simulée au creux de la main, par exemple. Je recommande à tout le monde d’essayer, juste pour l’effet !

Traite à la main :
Sans conteste le jeu LOL de la compile, celui qui vous vaudra d’être fiché sur un réseau social à jamais et pour cause. Le jeu vous propose de traite une vache. Au delà du rendu vibrant particulier du pis dont on extrait le lait, le geste demandé est pour le moins… Inutile de vous faire un dessin. Cela aura au moins pour mérite de constater lequel parmi vos potes fera les plus grands gestes.

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Fast RMX

Ce jeu de course futuriste à la sauce F-Zero promet beaucoup. On va être clair dès le départ : je n’ai pas joué à la version Wii U qui avait eu la mauvaise idée de sortir en même temps que Xenoblade Chronicles X. C’est donc ma première expérience pour un jeu de la série et je dois dire que j’ai beaucoup apprécié. La sensation de vitesse est très bonne. Le jeu propose de switcher entre deux couleurs de lumières : bleu et orange. Si vous circulez sur une piste illuminée de la même couleur que votre véhicule, alors vous profiterez d’un boost. Sinon vous ralentissez fatalement. Voici une touche sympathique pour donner de l’intégrité au jeu. Pour le reste, ça s’apprécie comme un bon F-Zero et je suis sur que c’est le genre de jeu qu’on adorera lancer en vacances direct sur l’écran de la console. Malheureusement, il n’était jouable sur TV au salon.

Splatoon 2

L’un des deux gros jeux inédits de la conférence Switch (avec Mario). Malheureusement et malgré le succès du premier jeu Wii U, la réception fut timide. Trop tôt ? Le premier est sorti il y a deux ans et ça n’a pas l’air de déranger grand monde de payer un Pokémon/Fire Emblem tous les ans. Trop similaire ? Autant que peut l’être Mario Kart depuis la Super Nintendo. De plus, pourquoi drastiquement changer une recette qui fonctionne ?
En ce qui me concerne, Splatoon est l’un de ces jeux qui m’a fait adoré ma Wii U. Je n’aime pas les TPS et j’ai pourtant immédiatement accroché au design, à l’ambiance, aux couleurs (rares pour le genre) et au but du jeu, qui consiste, dans sa règle principale, à couvrir le plus de terrain possible avec la couleur de son camp.

Si la bande annonce laisse entrevoir beaucoup de nouveautés dont les détails arriveront sous peu, la démo que nous avons pu essayer nous permettait juste de reprendre en main le gameplay sur un nouveau terrain et avec les différentes manettes de la Switch. La règle du jeu énoncée plus haut était la même et, hormis des coups spéciaux inédits, rien n’a changé. La première session de jeu était avec le Pro Controller, où j’ai d’ailleurs pu constater qu’il embarque un gyroscope. Bien que la DualShock 4 possède également cette technologie (mais carrément sous-exploitée), la sensation de reconnaissance de mouvement avec cette manette est vraiment déroutante. Forcément, cela fait maintenant plus de 10 ans que Nintendo nous habitué à l’exercice avec des outils bizarres. Une simple question d’habitude, j’imagine. La deuxième session de jeu était elle directement sur la Switch, où j’ai pu encore une fois apprécier la très bonne qualité de l’écran pour un rendu aux petits oignons. Niveau prise en main, la Switch étant relativement identique au Wii U GamePad, le naturel revient bien plus vite.

Ayant adoré Splatoon premier du nom, le deuxième épisode est pour moi un achat obligatoire. Il faudra cependant que Nintendo corrige le point sensible du online. Le jeu étant centré autour des combats en ligne, il était insupportable sur Wii U de ne jouer qu’avec des japonais qui, avec la latence, le lag, arrivaient à vous allumer derrière les murs, être invincibles, etc. Nous en avons déjà fait une liste exhaustive par ici et aussi par-là. L’annonce d’un online payant sur Switch est en cela une bonne nouvelle en ce qui me concerne, si cela peut permettre d’ajouter plus d’options (comme jouer seulement en régional) et d’avoir surtout un jeu plus stable ! Le seul point que je redoute est qu’il sorte peut-être trop tôt. Splatoon n’est, à mon avis, pas un system-seller et surtout si l’on considère que beaucoup prendront la Switch seulement lorsque le Mario sera disponible. Nous verrons bien cet été !

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ARMS

Dès que j’ai vu la bande annonce d’ARMS lors de la conférence de Tokyo, j’ai su que ce serait mon petit coup de cœur, un peu comme l’a été Splatoon lors de sa première présentation. Petite musique un peu brésilienne, personnages déjantés à la Punch-Out, couleurs flashy et ambiance année Dreamcast ont eu raison de moi. J’ai donc direct sauté sur une borne présentant le jeu. Celui-ci était en configuration Joy-Con dans chaque main. Ça m’a rappelé au bon souvenir de la Wii, que j’ai touché la première fois il y a déjà plus de 10 ans. Première impression avec les Joy-Con… c’est petit. Mais assez agréable à tenir au final. Mes pouces se placent parfaitement bien sur les boutons R et L, et je trouve que les gâchettes ne sont pas mal placées. Quand aux poids des engins, je dois dire qu’avec 49,3 g pour le Joy-Con gauche et 52,2 g pour le droit, on ne les sent presque pas.

J’ai donc démarré une partie contre mon adversaire de la journée, en choisissant Ribbon Girl parce qu’elle me fait penser à Rainbow Mika de Street Fighter, les énormes seins en moins. Mon collègue a quant à lui pris Spring Man, que je trouve ultra inspiré de Little Mac (Punch-Out), mais avec des cheveux bleus. Une fois choisis, on se retrouve direct dans l’arène de la conférence Nintendo, celle avec des bords rebondissants, mais nous avons tout de même le temps de choisir quelques accessoires. Si vous avez remarqué, il est possible d’avoir des gants différents dans chaque mains, ce qui rend le combat plus stratégique ! En tout cas, c’est plutôt propre, à part le public, qui ne ressemble pas à grand chose et qui est assez mal animé.

Côté maniabilité, tout se fait assez simplement. Le déplacement se fait en inclinant les deux Joy-Cons dans le même sens, donc devant, vers l’arrière ou sur un côté. A ce niveau, il faudra faire en fonction du poids de notre personnage. Par exemple, Master Mummy ira bien moins vite que Spring Man. Evidemment, vous aurez compris que pour donner des coups, il faudra donner de sa personne dans la réalité. Un coup sec vers l’avant donnera un coup de point standard, tandis qu’un coup légèrement orienté prendra exactement le même chemin dans le jeu. Franchement, c’est assez bluffant et c’est à ce moment-là que je me suis dit qu’on était très loin de nos Wiimotes.
Il y a évidemment d’autres mouvements, comme le Dash d’un simple clic sur L, ou le saut se faisant avec R, mais aussi les prises de grippes qui s’effectuent en donnant deux coups de poings simultanés. Mais attention, une choppe peut se contrer si l’adversaire met sa garde en positionnent les Joy-Con à l’horizontale, les pouces vers l’intérieur. Tout se fait de façon fluide, efficace, et on se surprend à déjà avoir quelques techniques d’approche alors que le combat ne vient que de commencer. Les rires sont là, les yeux sont rivés sur l’écran et on se rend compte qu’une jauge de furie se remplit petit à petit lors du combat. Une fois activée avec ZL et ZR, cette jauge se vide permettant de lâcher une furie à base de « je donne un milliard de coups de poings ». Efficace et fatigant, mais tellement fun !

Bref, mes trois combats ont fini de me dire que ARMS, ce sera en Day One chez moi. Reste tout de même encore quelques inconnues, comme le fait qu’il propose un mode histoire, d’autres personnages, ou les possibilités du jeu online. En tout cas, les bases sont là et le potentiel est plutôt bon.

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The Legend of Zelda: Breath of the Wild

Contrairement à certaines personnes de l’équipe, je n’avais malheureusement pas eu la chance d’essayer ce nouvel épisode de ma saga préférée lors de l’événement organisé par Nintendo France en juin 2016. À cette époque-là, nous étions jeunes et satisfaits de voir que ce Zelda était juste magnifique sur Wii U. J’ai donc eu la chance de découvrir ce nouvel épisode, manette en main, directement sur Switch. Pour ce qui est de la maniabilité, exit le gros pad Wii U et bonjour les deux Joy-Con solidement attachés via le Joy-Con Grip. Je pensais que cela ferait plus gros en main, un peu comme les manettes Dreamcast, mais au final, pas du tout. C’est assez petit, mais tout est parfaitement ergonomique. A voir tout de même à la longue, si le placement des joysticks reste agréable.

Malheureusement, la découverte fut pour moi de courte durée. Si le support n’était pas le même, la démo elle, était strictement identique à ce que l’on a tous vu et revu à l’E3 2016. On commence avec Link qui se réveille, puis Link qui découvre l’énorme plaine, suivi du vieux qui nous raconte un truc, de quelques épreuves et paf, clap de fin de démo. Frustrant, mais au combien génial ! Si les graphismes ne sont pas du niveau de ce que je trouve sur mon PC, l’esthétique fait le job et m’a emmené totalement autre part l’espace de 20 minutes. Je n’ai pas pu m’aventurer très loin, mais assez pour apprécier les graphismes et la puissance de la Switch par rapport à la Wii U. Le clipping est bien moins présent, les couleurs ne semblent pas sur les mêmes teintes et l’aliasing a presque disparu. Reste plus qu’à attendre sagement le 3 mars prochain, afin de mettre enfin la main sur ce précieux.

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Mario Kart 8 Deluxe

Je n’ai jamais joué à Mario Kart 8. Donc l’essai de cette version Deluxe sur Switch était une double première. Je ne m’attendais pas spécialement à perdre mes repères, vu que j’ai fait fumer la version 3DS à l’époque, mais je m’attendais à une prise en main particulière, avec une physique différente (notamment dans les virages).

Au final, je n’ai pu essayer que la prise en main tablette, avec les deux Joy-Con arrimés à l’écran, le tout pour une partie en multijoueurs locale à huit. Déjà sur ce point, ça en jette. Bien sûr, il y avait huit exemplaires de consoles et de jeux différents, ce qui permettait à tout le monde d’accéder à l’intégralité du contenu du jeu. Avec une seule console et un seul jeu, les possibilités seront forcément plus réduites.
La prise en main que j’appréhendais un peu était bonne. J’avais déjà pu essayer Splatoon 2 avec ce mode juste avant, de toute façon. En termes de maniabilité, moi qui pensait me ridiculiser tout au long de la course avec des virages finissant dans l’herbe ou dans les murs (bon, on va pas se mentir, c’est quand même arrivé une ou deux fois), j’ai tout de même réussi à tenir mon rang. Sachant que je n’avais plus touché à Mario Kart 7 depuis 2013, c’est plutôt pas mal. Les dérapages étaient tout de même un peu plus flottants et donc différents à contrôler que dans la version 3DS, mais au final ça ne dérange pas.

Pour la prise en main de la Switch en elle-même, eh bien le dépaysement n’est pas total. Bien sûr la console est plus large que la 3DS, mais on s’y fait forcément très vite. Rien à dire là-dessus, c’est le Nintendo Seal of Quality. Prise en main rapide et fun immédiat. Même en n’ayant pas essayé les autres façons de jouer (Joy-Con Grip, un Joy-Con par joueur), je pense que ce sera le mode de jeu que je privilégierai dans mon utilisation de la console au quotidien. Oui, même pour Zelda et d’autres jeux.
Il faut dire que l’écran est d’une telle qualité que je considérerais presque un affront de ne jouer que sur un téléviseur. La finesse des détails et sa clarté sont à tomber par terre. Bon, en relativisant, je ne m’attendais tellement pas à un tel niveau de qualité que j’exagère peut-être un peu là. Pas de saccade, pas de bugs d’affichage visibles au premier contact… Non, y a rien à redire sur cette version Deluxe.
Reste plus qu’à vérifier si le jeu est toujours aussi fun lorsqu’on joue à deux sur un même écran, en mode « sur table », avec un Joy-Con chacun. Ça risque d’être un peu plus crispant, mais ça sera certainement à généraliser à tous les jeux qui proposent ce mode de jeu.

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Frostis Advance : pour moi, c’est day one sans hésiter. Déjà parce que la console sort en même temps qu’un nouveau Zelda. Rien que pour ça, je ne me pose pas de question et je prends. Mais aussi parce que la Switch a des jeux à forts potentiels, ARMS et Splatoon 2 en tête. Mais aussi parce qu’elle propose quelques petites perles, comme Snipperclips et pas mal d’autres exclusivités à venir. Reste tout de même encore pas mal de questions sans réponse. Mais ce sera day one tout de même.

Fire Rafou : Je me mets dans la même catégorie que l’excité du dessus. Pour moi, la Switch m’a plu dès que l’on a su qu’il s’agissait d’un concept salon/portable. La Wii U est une console dont le concept m’intéressait, à savoir de ne pas être dépendant de la télé pour jouer, objet qui n’est pas toujours disponible lorsque l’on est en couple ou en famille. Malheureusement, cette dernière restait dépendante de la pièce où est cette télé. Avec la Switch, c’est fini. Je peux jouer dans mon lit, chez mes beaux-parents, dans le train, etc. En ce qui me concerne, le test de la console m’a encore plus convaincu. Entre un écran sublime, du matériel de bonne qualité (et enfin mat !) et l’assurance d’avoir tous mes jeux Nintendo, partout tout le temps, c’est un grand oui !

Lost Spirit : Pour répondre à la question posée en introduction, oui, la Switch sera mienne le jour de sa sortie. Je ne suis pas resté longtemps à tergiverser, même si c’est surtout la bande-annonce spectaculaire et le monde étendu que propose le Zelda qui ont fait pencher la balance. Bien sûr, la ressortie de Mario Kart 8 sur cette plateforme à peine deux mois après la sortie a aussi joué, vu que, comme je le disais, je n’ai jamais joué à la version Wii U (je n’ai pas la Wii U en fait). D’un coup, en plus d’avoir des nouveaux jeux relativement intéressants, il y a également l’espoir de voir des titres Wii U autres que MK8 être portés sur Switch. Coucou Xenoblade Chronicles X. Et puis le côté nomade de la console est forcément intéressant.